Slow Life in ZADAR

En France, les stages sont souvent très organisés, avec des plannings d'activités assez remplis.

Sur nos premières journées, nous avons trouvé le rythme des résidents très lent. Nous sommes plus en surveillance qu'en animation d'activités. Les résidents, malgré leur handicap nous ont bien accepté, étaient intéressés par notre présence malgré la barrière de la langue. Les prochaines journées devraient être plus actives avec un planning des résidents plus chargés.

Après échange avec les professionnels, le métier d'accompagnant n'est pas reconnu, sauf celui des psychologues et des infirmières. Les autre métiers de l'accompagnement ne sont pas reconnus certainement par l'absence de formation précise (2 mois seulement pour prendre en charge des résidents avec des pathologies lourdes). En France, les FAM supposent un encadrement défini, avec des professionnels formés et pluridisciplinaires.